F6BKI
F6BKI Pylone réafecté
moon bounce sur 144 Mhz
moon bounce sur 144 Mhz
F6BKI 4el steppir opt dip 30/40
et extension 9el 6m home made
et extension 9el 6m home made
Version QST à Marseille chez Jo F6ATQ
catalogue 1985
André F6AOI ( Nice 06 )
qui avait eu l'occasion
d'utiliser l'antenne de Jo F6ATQ,
m'a signalé qu'elle avait le défaut
de ne pas tirer dans l'axe du boom,
à cause du système
d'alimentation non symétrique
en place chez Jo.
Dans l'article de QST
l'antenne est spécifiée à Zc = 37ohm
mais les problèmes
d'adaptation d'impédance
et de symétrisation
ne sont pas traités soigneusement.
Un balun 1/1
et logiquement un SWR annoncé
de 1.3 à 1.4 de 14.000 à 14.350
font pale figure sur une si belle antenne.
ma SteppIR 4 éléments à 23 m.
Fort de l'expérience précédente,
la flèche de 5.50 m en duralinox de 50-30
est cette fois-ci haubannée très haut
avec un palier à billes
et 4 haubans en Kevlar de 8 mm.
Comme on dit dans la Marine :
"Trop fort n'a jamais manqué"
La perche de 8 m
en fibre de verre au premier plan
porte les doubles boucles croisées
K9AY de réception des bandes basses.
AO
Journal
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AO
Journal
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Adaptation d'impédance et Symétrisation
Mon antenne avait une impédance de 37 ohms.
En sortie de coax 50 ohms, un balun 2:1 = sortie 100 ohms
Entre le balun et les lignes croisées de l'antenne,
une ligne 1/4 d'onde blindée symétrique d'impédance 60 ohms,
soit en sortie de la line Z = (60x60) / 100 = 36 ohms. CQFD
Réalisation de la bifilaire blindée
( ARRL Antenna book ch 24.1 fig.24 très simplement généralisée) :
1/4 d'onde de coax 50 ohms en parallèle avec 1/4 d'onde de coax 75 ohms
donne une ligne blindée 30 ohms,
(attention que les coefficients de vélocité des coax soient bien les mêmes).
On recommence et on connecte ensemble les blindages
des deux lignes 30 ohms obtenues
et on a une ligne blindée bifilaire 60 ohms.
En fait dans la bande qui m'intéressait
puisque je faisais essentiellement de la SSB à l'époque
le ROS était < 1,1 entre 14100 et 14300
Adaptation encore
Pour les cas où elle est applicable (monobandes),
je prône tout particulièrement ce type d'adaptation d'impédance.
La transformation se fait dans du cuivre, à pertes minimum,
sous gaine et donc à l'abri des effets de la corrosion,
ce qui n'est pas toujours le cas, même si des précautions sont prises,
dans les "gamma match", "beta match", etc.
De plus, quand cela est possible,
l'adaptation par lignes 1/ 4 d'onde relève de la calculette
et permet de laisser rangées les abaques de Smith
qui rebutent nombre de non spécialistes.
Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas les sortir
pour faire des adaptations par stubs,
toujours à l'aide de gros coax
et donc à faibles pertes quand cela est utile.
Je suis à peu près sûr,
sans avoir fait la comparaison effective
qu'entre le gain de la cellule de la LogYag
et les pertes du beta match de la 204BA que j'utilisais auparant,
c'était un bon point S que j'avais gagné avec la LogYagi,
a encombrement "presque" equivalent
et en tout cas sans passer aux "long booms"
qui sont nécessaires pour gagner quelques dB.
Anticorrosion
Le produit que j'utilise est le "Brisal-Ox50-855".
Fabrication PLM 17 rue de Clichy 93400 Saint Ouen (Labinal ?).
Je ne sais pas si l'entreprise est encore là.
Encore distribué en tous cas par Supavia à Thorigny-sur-Marne
et Aviatec (professionnels seulement) mais à l'unité par boîtes de 200g.
Utilisé en avionique pour tous les raccordements en cosses d'aluminium.
L'avantage du produit est qu'avec la graisse silicone et le zinc pulvérulent,
il incorpore un abrasif qui casse la couche d'alumine au moment de l'emboîtage
des tubes ou du serrage des contacts,
assurant ainsi avec le zinc une très grande conductibilité.
J'en dispose encore de quelques centaines de grammes,
de quoi monter un "certain" nombre d'antennes.
Qu'on se le dise !
F2LZ
Dans les années 80 le concept Log-Yagi
a été développé et commercialisé
pour les amateurs entre autre par K6STI
sous la marque KLM.
Au catalogue une série de monobandes
à haute performances du 6m au 40m
et les légendaires KT34 & KT34XA en tribande
utilisant une cellule LPDA
à 2 éléménts comme driver.
A la même époque, l'apparition
des transceivers au PA transistorisé
à indirectement fait la promotion du concept,
les PA réduisant automatiquement la puissance
de sortie en fonction du SWR.
Petit à petit la plus part des constructeurs
nés 2 décennies plus tôt
lors de l'apparition de la trappe ont produits
de nouvelles versions de leurs best-sellers
en les modifiant à coup de cellules LPDA.
En France la confidentielle F8DR,
bi-bande 15-20 " à réflecteurs pilotés "
était aussi basée sur le concept LPDA.
Actuellement
l'antenne qui équipe la station F2LZ,
est en continuité avec les caractéristiques
de la feu 6 el 20 m,
puisque c'est une Steppir 4el.
Cette solution d'origine commerciale permet
d'obtenir en multibandes de manière dynamique
l'optimisation des performances
à la fréquence d'utilisation
au moyen d'éléments télescopiques
assistés par des moteurs pas à pas
et commandés par microprocesseur.
Les "trous" entre les bandes ont disparu
l'accord est asservi automatiquement
en continu quelle que soit la fréquence
choisie entre les butées,
seul le boom de longueur fixe
limite l'optimisation.
L'intégration de l'informatique
disponible à très faible coût
en monochip de type contrôleurs "PIC"
a permis cette évolution radicale et irréversible.
En contre partie la complexité à migré
de la mécanique statique,
dépendant uniquement de la résistance des matériaux,
au système électromécanique asservi en position
qui donc devient le point névralgique de la fiabilité.
Autre avantage des antennes à éléments motorisés,
illustré par la mise en œuvre de F2LZ,
en réduisant à un seul le nombre de booms nécessaire
pour obtenir des monobandes sur 5, 6, ou 8 bandes,
on évite les stacks d'antennes,
et on peut alors haubaner tout en haut,
au raz de l'antenne
et attendre beaucoup plus sereinement
le prochain coup de vent.
Autre avantage encore,
en concentrant 5, 6, ou 8 bandes sur le même boom,
on peut libérer un pylône qui peut être réaffecté à une nouvelle activité
comme chez Jacques F6BKI qui maintenant fait aussi de l'EME.
Avant de stacker des monobandes avec un faible espacement,
une modélisation de l'ensemble permet souvent
à la vue des performances dégradées de chaque antenne
de considérer une seule multibandes
comme étant un compromis crédible électriquement,
et hautement supérieur mécaniquement.
En introduisant une ou deux multibandes dans le stack,
c'est évidemment encore pire.
bi-bande 15-20 " à réflecteurs pilotés "
était aussi basée sur le concept LPDA.
Actuellement
l'antenne qui équipe la station F2LZ,
est en continuité avec les caractéristiques
de la feu 6 el 20 m,
puisque c'est une Steppir 4el.
Cette solution d'origine commerciale permet
d'obtenir en multibandes de manière dynamique
l'optimisation des performances
à la fréquence d'utilisation
au moyen d'éléments télescopiques
assistés par des moteurs pas à pas
et commandés par microprocesseur.
Les "trous" entre les bandes ont disparu
l'accord est asservi automatiquement
en continu quelle que soit la fréquence
choisie entre les butées,
seul le boom de longueur fixe
limite l'optimisation.
L'intégration de l'informatique
disponible à très faible coût
en monochip de type contrôleurs "PIC"
a permis cette évolution radicale et irréversible.
En contre partie la complexité à migré
de la mécanique statique,
dépendant uniquement de la résistance des matériaux,
au système électromécanique asservi en position
qui donc devient le point névralgique de la fiabilité.
Autre avantage des antennes à éléments motorisés,
illustré par la mise en œuvre de F2LZ,
en réduisant à un seul le nombre de booms nécessaire
pour obtenir des monobandes sur 5, 6, ou 8 bandes,
on évite les stacks d'antennes,
et on peut alors haubaner tout en haut,
au raz de l'antenne
et attendre beaucoup plus sereinement
le prochain coup de vent.
Autre avantage encore,
en concentrant 5, 6, ou 8 bandes sur le même boom,
on peut libérer un pylône qui peut être réaffecté à une nouvelle activité
comme chez Jacques F6BKI qui maintenant fait aussi de l'EME.
Avant de stacker des monobandes avec un faible espacement,
une modélisation de l'ensemble permet souvent
à la vue des performances dégradées de chaque antenne
de considérer une seule multibandes
comme étant un compromis crédible électriquement,
et hautement supérieur mécaniquement.
En introduisant une ou deux multibandes dans le stack,
c'est évidemment encore pire.
Protection contre la corrosion
Les produits standards sont des pâtes
assurant 2 fonctions simultanées :
- la permanence des contacts électriques
en empêchant l'oxydation
- la démontabilité des emmanchements télescopiques
en empêchant les réactions chimiques de "souder" les tubes.
Il existe 2 mixtures conductrices assurant ces fonctions
- les pâtes à base de zinc, donc de couleur gris sombre,
- les pâtes à base de cuivre, donc de couleur rousse.
La pâte au zinc, je l'ai découverte en 1972 en ouvrant l'emballage
d'une S402 2el 40m Mosley acquise par F6KAW.
Mosley a toujours à son catalogue ce produit part # A-1123 1 oz 11$
La pâte au cuivre était fournie en standard par KLM avec toutes ses antennes.
On en trouve en Allemagne au catalogue du distributeur WIMO
sous la marque Butternut le produit,
"Butter-its-not" order N°. 23125 30 gr pour 15€
En France les industriels de l'aéronautique et de l'électricité
ont développé des produits identiques,
mais ils ne sont pas disponibles sur le marché grand public.
On en trouve dans les circuits de distribution professionnels,
uniquement en grosses quantités évidemment.
Le produit industriel le plus courant est du Penetrox-A de Burndy.
Il est disponible en conditionnement de 4oz ,
on en trouvait entre autre chez AES pour 13$.
Malheureusement suite au 11/09 et l'évolution des règles de sécurité,
il est maintenant interdit de transporter ce produit par avion,
donc il n'est plus accessible.
Retrouvé par hazard à la cave le 21/03/09 dans un emballage étiqueté en Francs,
et qui semble toujours disponible sur le marché grand public
Loctite 8152 (Henkel) "Lubricomet" PAC 15, pâte éléctrocontuctrice au cuivre.
Utiliiser ces pâtes est vital pour maximiser la durée de vie
des conctacts électriques aux intempéries et au temps,
et pérénniser son investissement en aluminium
en garantissant la démontabilité à très long terme.
Des éléments ont été démontés sans souci
après plus de 19 ans de service, ici ( F6AOJ ) du KLM monté à la pâte au cuivre,
et chez F2LZ après plus de 21 ans, du Hygain monté à la pâte au zinc.
Finalisée au printemps 1978,
la 6 éléments était une log-yagi de construction F2LZ
à base de pièces HyGain éventuellement modifiées ou renforcées.
Parti d'une description
"The Log-Yag Array" par K4EWG & W4BBP
QST dec 1976 pages 18 à 21
elle avait été construite telle quelle
à Brunoy 91 par Christian F6AXN,
à Bagnolet 93 par Daniel F6CKE et
à Marseille par Jo F6ATQ (sk 96).
En ce qui me concerne j'avais allongé le boom (10,60 m)
et optimisé encore la formule en faisant tourner les gros ordinateurs de l'époque.
Il s'agit donc d'une cellule logarithmique de 4 éléments
munie d'un réflecteur assez rapproché
et d'un directeur à relativement grand espacement.
Elle rentre dans la catégorie
des antennes dites superdirectives
et ce, pour les raisons suivantes :
- Le gain de la cellule logarithmique environ 4,5 dB
s'ajoute à peu près exactement au gain
de la yagi grand espacement
dont elle remplace le radiateur.
Soit environ 13,5 dB iso (4,5 + 9)
- "L'élément rayonnant" (la cellule)
étant à très faible Q,
autorise un réflecteur rapproché
avec de faibles rotations de phase dans la bande
ce qui donne un rapport avant/arrière très élevé
sans que la bande passante ne soit affectée.
On qualifie de superdirectives les antennes
où on arrive à forcer la phase
dans les courants des éléments parasites
au delà ou en deçà des valeurs "naturelles
ou classiques" impliquées par les mutuelles
ce qui est le cas ici
grace aux propriétés de la cellule.
C'est pour la même raison
que les gains s'ajoutent
sans détériorations dues aux interactions.
C'était passionnant à modéliser et à optimiser !
- Elle a été mesurée
sur la base d'antenne du LCT
Laboratoire Central de Télécommunications :
max :11,2 dB de gain / doublet, min 10,8 dB dans la bande
Rapport Av/Ar minimum 25 dB - max 32 dB dans la bande
ROS < 1,22 entre 14,000 et 14,350.
Un gros bijou qui m'a permis
de faire à peu près ce que je voulais
sur 20 m pendant vingt et un ans.
Mais, monobande ...
N'ayant pu la redescendre rapidement
pour cause d'arbre ayant poussé,
elle s'est dégradée là-haut au fil des années
où je suis resté en standby.
Les morceaux ont été récupérés en 2006
par le radio-club de Maisons Laffitte
pour construire des yagis avec.
Fin de l'histoire...
Jacques F2LZ
AO Journal Interview
F2LZ
6 el Log-Yagi 20m
&
Adaptation d'impédance
Protection anticorrosion
F2LZ
6 el Log-Yagi 20m
&
Adaptation d'impédance
Protection anticorrosion
last Update 14/06/2010
Les meilleures choses ont une fin
Joris 26dec 1999
La flèche portant la 6 éléments 20m
était un tube d'inox de 60mm
doublé à l'intérieur d'un tube d'acier de 45 mm.
La distance entre les deux beams était de 3,50 m
La tête de la tour et le rotor sont passés à la ferraille.
La Versatower bien haubannée en fibre de verre
a résisté et est encore en service.
Rien ne permet d'identifier cette antenne,
normal car c'est un exemplaire unique.
Le designeur et constructeur,
Jacques F2LZ, raconte ci-dessous.
était un tube d'inox de 60mm
doublé à l'intérieur d'un tube d'acier de 45 mm.
La distance entre les deux beams était de 3,50 m
La tête de la tour et le rotor sont passés à la ferraille.
La Versatower bien haubannée en fibre de verre
a résisté et est encore en service.
Rien ne permet d'identifier cette antenne,
normal car c'est un exemplaire unique.
Le designeur et constructeur,
Jacques F2LZ, raconte ci-dessous.
The Darwin scale
1932 1950 1980 2000
Dr Yagi Trap Log-Yagi Motorised éléments
F2LZ
Yagi à éléments motorisés
La quelle est la plus fiable ?
La quelle est la plus fiable ?
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